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 Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~

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Calypsos

Calypsos


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MessageSujet: Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~   Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~ Icon_minitimeSam 5 Juil - 10:37

[ Bon bah voila Nozo comme mon chéri ne veux pas te l'apporter et bien l'histoire de Sioyë viendra à toi ^^ ! ( Bon ne compter pas les fautes d'orthographe, frappe et syntaxique sinon vous avez du boulot pendant...toutes les vacances ^^ !) ]

Les Origines de Sioyë


Dans le monde de Nihil, il existe plusieurs races toutes éparpillés dans différents territoires:
- Ibelle: la terre des hommes et des nains
- Fyress: la terre des elfes et fées
-Saïan: la terre des démons
- Delegnos: la terre des hybrides
- Cronos: la terre des anges
Chaque terre a sa végétation, ses coutumes, ses créatures fantastiques et ses lois. Mais pour que l’ordre et l’harmonie soient respectées, il faut des personnes assez fortes, courageuses, loyales, et surtout uniques pour parvenir à se que la paix règne dans ces terres et qu’aucun envahisseur n’y entre. C’est pour cela que l’école de chevalerie Nährdelle fut construite au centre du cercle formé par les 5 autres îles. C’est ici que l’on éduque et entraîne les jeunes apprentis élus.



I L’appel du destin.

Un elfe parcourait rapidement la forêt, marchant rageusement et à pas feutré, il s’arrêtait de temps en temps pour écouter, il resta un long moment immobile, puis soudain s’avança d’un pas décidé vers un arbre. Il chuchota quelques mots au végétal, celui-ci frémit et quelques instants plus tard un jeune garçon tomba à ses pieds dans un bruit mat. L’elfe d’âge mûr sourit lorsque cette tignasse de cheveux noir avec des dégradés châtains clair se releva en se secouant, ses deux bleus saphir lançait des éclairs, du haut de son 1m75 ( il espérait encore grandir !) il grogna:

« Non mais ça va pas de déranger les gens comme cela ? »

Il reçut en guise de réponse un petit coup sec sur la tête.

« Ce que tu peux être insolent ! Je te signal que normalement tu es en cour à cet heure ! »

Le jeune garçon le regarda avec un sourire moqueur:

« Et vous aussi cher professeur ! Vous ne montrez pas l’exemple ! »

Et il se retourna pour prendre la poudre d’escampette, malheureusement pour lui son maître fut plus rapide et l’attrapa par la peau du cou, et le traîna jusqu’en cour.

« Pour la peine tu seras en retenu toute la semaine ! »

Le garçon grommela, de toute façon si il additionnait toutes ses heures de retenus il resterai collé deux mois entiers ! Alors une de plus ou de moins…
Plus tard il se retrouvait assis sous un dôme parmi d’autres élèves bien plus disciplinés que lui. La salle était un immense dôme fait de différent sorte de végétaux entrecroisés, les rayons du soleil y pénétraient procurant une douce lumière à la salle. Sioyë comme à son habitude portait son attention à l’extérieur et non au cour. Le professeur l’observait d’un œil et soupira: Sioyë était de loin son meilleur élève, c’était un vrai génie avec beaucoup de potentiel, seulement… il ne l’exploitait qu’a moitié, juste pour la pratique. Une partie des retenues était pour lui refaire rapidement les leçons, l’autre était de lui faire approfondir les exercices de bases, c’était le contrat qu’ils avaient fait, il apprenait d’autres techniques et s’entraînait avec son aide hors des cours, mais en échange il devait avoir au moins la moyenne lors de la théorie. Car sans la théorie pas de pratique ! D’ailleurs ce soir son élève devait rattraper l’examen qu’il avait raté ce matin. Tous les matins ou presque Sio avait la sale habitude de partir vagabonder dans la forêt et d’arriver en retard aux cours. Et donc tout les matins, il devait aller à la chasse au Sioyë, ce qui ne lui rendait pas la tache facile c’est que le gamin se cachait de mieux en mieux et de ce faite, développait ses propres techniques de camouflage.
Sioyë se trouvait maintenant devant sa feuille d’examen, cela l’ennuyait profondément. Il avait répondu à la moitié des questions et se demandait si il continuait ou pas, d’un coté il était sur d’avoir tout bon et cela ne lui rapportait rien d’avoir plus de la moyenne. Il allait dire à son maître qu’il avait terminé lorsque soudain celui-ci lui dit sur un ton des plus alléchant :


« Sio si tu as plus de 15 à cet examen de théorie et autant à la pratique tu passes en classe supérieur. »

Il le regarda et termina par:

« Tu sais ce que cela veut dire n’est-ce pas ? »

Le garçon le savait plus que bien, en classe supérieur il y avait beaucoup plus de pratique que de théorie. Il se rassit doucement et regarda sa feuille avec un sourire, 30 minutes plus tard, il rendait un devoir complet et bien rédiger. Son professeur sourit et lui rappela:

« L’examen de demain est à 10 heure ne soit pas en retard ! »

Sio lui lança avec un peu d’arrogance:

« Bien sur, après ma promenade matinal ! »

Et il sortit, sur sa feuille inscrit en rouge, le nombre 20 y était écrit, avec la mention parfait.
Le lendemain il se leva aux aurores après un déjeune frugal, il partit de chez lui, Sio était un garçon solitaire, il se savait différent des autres. Le gamin était un orphelin adopté par ce clan elfique, il ne connaissait ni ses origines, ni pourquoi il avait atterrit ici, de toute façon il était vivant et il allait en profiter ! Il descendit dans les méandres des ruelles, tout le village était endormi, lui allait comme à son habitude dans la forêt, il la connaissait à présent par cœur, depuis son enfance il la parcourait sans arrêt. Mais hier il avait aperçut un passage encore inconnu, il avait décidé d’aller y faire un tour. Il ne fut pas déçut, les arbre faisaient de grands dômes feuillus, l’eau coulait à flots entre les tapis de fleurs aux couleurs chatoyantes, bientôt il atterrit dans une clairière où la lumière doré de l’astre du jour inondait l’espace, il s’assit et profita de ce moment de tranquillité. Le temps passa lorsqu’il voulut rentrer une ombre de taille démesuré ondula sur les arbres, sa curiosité fut piqué au vif, il alla voir ce que cela pouvait être à l’encontre du danger… Il suivit l’ombre pendant un bon moment lorsqu’il s’aperçut que les profondeurs de la forêt l’avaient aspirées, la température chuta , Sio se surprit à frissonner: de froid ? de crainte ? Le garçon ne se sentait pas vraiment à l’aise, un grognement sourd retentit derrière lui, l’ombre lui tournait autour, une odeur de sang provient à ses narines, l’animal était un carnivore. Un rayon de lumière bleutée vînt frappé son visage, formant un halo bleu autour de lui. La créature doucement émargea des profondeurs et s’avança vers lui, Sio découvrit un superbe loup blanc, enfin sa avait l’apparence d’un loup, sauf qu’il était immense, aussi grand qu’un cheval. Ce fantastique animal se tenait devant le jeune elfe, une grande sagesse émanait de ses yeux dorés. Au sein de son esprit une voix grave retentit :


« Fils des loups, que ta place légitime te soit rendu ! »

Il y eut un éclair aveuglant et puis plus rien, le noir complet.
Sioyë ouvrit ses paupières, sa vision était floue, il jeta un coup d’œil rapide vers le haut, il y avait des étoiles…des étoiles ?
Soudain il réalisa que la nuit était tombé, tout comme son examen qui lui était tombé à l’eau. Le garçon se redressa brusquement lorsqu’une douleur lancinante lui transperça le dos, il découvrit qu‘on lui avait bander le tour de son torse . Avec un grognement il s’assit sur le lit en se tenant la tête d’une main, une migraine affreuse s’y était installé. Il ferma les yeux pour essayer de se remémorer les évènements passés. Il sentit une présence dans son dos et vît son maître avec quelque un qui ne connaissait pas. L’homme était enveloppé dans une grande cape de couleur rouge. Sur le visage du maître un mélange de crainte et de fierté se peignait, lorsqu’il vît que son élève était réveillé il s’avança vers lui:


« Ah Sioyë tu es enfin réveillé, comment te sens tu ? »

Le jeune garçon le dévisagea un instant, il n’aimait pas le ton qu’avait employé son professeur, soit on lui cachait quelque chose, soit on allait lui apprendre de bien mauvaises choses…

« Vous savez ce qui m’est arrivé n’est-ce pas ? »

Ce fut l’inconnu encapuchonné qui répondit:

« Il a un bon sens de la déduction et des aptitudes naturelles très prometteuses, tournes toi jeune homme ! »

Le dénommé jeune homme hésita, mais l’aura que dégageait l’homme devant lui le dissuadait de désobéir, il se retourna lentement, l’inconnu enleva doucement le bandage, puis s’écarta pour observer quelque chose, Sioyë, lui, regardait une expression de stupeur se dessiner sur le visage de son maître. Il lança un regard interrogateur à l’inconnu. Celui-ci soupira de satisfaction semblerait il avant de commencer à parler:

« Tu as un tatouage dans le dos, il s’étale sur ton omoplate droite et il représente… »
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Calypsos

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MessageSujet: Re: Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~   Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~ Icon_minitimeSam 5 Juil - 10:38

Il fut interrompu par une boule de poil bleuté qui vînt se jeter sur le dos de Sio, se qui lui arracha un cri de douleur plutôt que de stupeur. Il se retourna furtivement vers le centre de son lit en pestant contre cet objet à l’air volant non identifié et découvrit …

« Un louveteau ? »

Sio regardait à présent d’un air incrédule les deux petit yeux doré en amande et ce petit bout de nez tout humide recouvert d’un pelage bleu nuit. Le petit animal tout fou observait avec de grands yeux le bipède à la chevelure ébouriffer, avec un air ahuri mais tout de même sympathique. Le garçon pointa du doigt la chose bleue et d’un air contrarié, il demanda :

« C’est quoi CA ? »

La scène était vraiment cocasse entre le louveteau qui montrait un intérêt passionnant pour le doigt de l’échevelé, celui-ci avait froncé ses yeux et pincé les lèvres en regardant l’encapuchonné rouge qui eut un soupir emplit de lassitude:

« C’est… ton frère. » dit il sur un ton tranquille.

Le jeune homme en resta bouche bée, s’était la plus grosse bêtise qu’il avait entendue jusque la, avec un rire amère il répondit:

« La ressemblance est … frappante. »

Sans paraître ennuyé et sur le même ton calme il lui expliqua:

« Physiquement non bien sur, mais psychologiquement vous vous ressembler comme deux gouttes d’eau ! »

« Vous voulez dire que ce mach… Aïïïeee ! »

Sioyë souleva son index au bout duquel pendait l’animal infernal, le petit s’était mis en tête de mordiller le truc qui bouger devant sa truffe depuis un moment, manque de chance, il s’avérait que s’était celui de son « frère » . Le garçon les larmes aux yeux, secoua un peu la main pour que le bébé loup lâche prise; rien à faire, plus sa allait, plus la mâchoire se refermait. Finalement après avoir analyser la situation, douloureuse, la victime posa sa main sur le lit. Du coup l’étreinte se détendit et le petit se mit à téter l’index du malheureux garçon en guise de pardon. Sio quand à lui ne bougeait même plus le main de peur de voir à nouveau son doigt avaler par ce petit monstre bleu. Il regarda l’inconnu avec des yeux suppliant l’air de dire: sortez moi de cet enfer ou expliquez moi au moins ce qui m’arrive. Après avoir prit une profonde inspiration, ce dernier commença:

« Bon je vais tout d’abord me présenter… »

Sur ce il enleva son capuchon et entrouvrit sa cape. Sio fut stupéfait: devant lui se tenait un homme d’un mètre quatre vingt cinq environ, avec des muscle à fleur de peau, bien qu’il n’est pas une musculature de colosse, la force qui en dégageait était la même. Il avait un visage avec une fausse expression de douceur, une certaine mélancolie brillait dans ses yeux noir. Sa chevelure descendait jusqu’au milieu de son dos, une cascade de cheveux noir, souple et lisse comme une surface aqueuse. Il portait une tunique aux tons rouges et noirs, dont un emblème doré brillait sur la manche droite. Il aperçut un vif éclat d’acier, il semblait avoir de quoi se défendre. Sio dégluti en pensant qu’il avait bien fait de coopérer, il s’assit donc confortablement sur le lit, sans bouger la main sur laquelle le louveteau était en train de téter, et attendit la suite du récit, celle-ci ne tarda pas:

« Je me nomme Diaz, je suis l’un des Sept Seigneurs de la Guerre de la prestigieuse école de Nährdelle. L’école regroupe des jeunes uniques, dont les talents aux niveau des aptitudes physiques, mentales et magiques sont très élevées. Chaque années les seniors de l’école appelé les Shins parcourent leurs terres pour y découvrir des jeunes ayant les critères pour entrer dans l’école et les préparent pendant un ou deux mois avant leur entrée… »

« Alors pourquoi dans mon cas, c’est un Seigneur de guerre qui vient à ma rencontre, suis-je si spécial ? De plus il me semble que vous êtes un démon non ? »

Diaz fut légèrement surpris. Ce garçon capte il déjà les auras qui l’entoure ? Pensa-t-il.

« En faite pour être honnête, oui tu es assez spécial car tu es le descendant d’une lignée de dieu guerrier… de la race des démons. »

La nouvelle abasourdit le garçon, tout ce mélangeait dans sa tête, il se savait doué naturellement, mais jamais il n’aurait pensé que…

« Attendez qu’Est-ce qui vous fait dire cela ? »

« C’est très simple, les descendants de ces clan de dieu avait un tatouage sur le corps qui selon la puissance, le flux magique et d’autres critères, va au fur et à mesure prendre forme selon l’évolution de son possesseur. De plus il y avait avec eux un frère animal, qui variait selon la personnalité de la personne. De plus, tu as sans aucun doute rencontrer un immense loup blanc qui t’as dit une phrase très significative et a réveillé en toi ce pouvoir. »

« Je m’en serais bien passé! De toute façon je refuse tout simplement d’aller dans votre école de niais, et de faire la nounou de ce monstre bleu ! Je ne peut pas être un démon et j’ai pas envie de l’accepter. Si je suis comme vous le dites, pourquoi on m’a abandonner à la naissance hein ? J’en ai ma claque de travailler alors que j’y vois rien dans mon intérêt ! »

Sur cet excès de colère Sioyë sortit en bourrasque poursuivit par le louveteau content que le garçon bouge enfin. Diaz soupira, le professeur lui dit:

« Excusez le seigneur, il est très fatigué et a reçu un choc, le mélange des deux fait qu’il a explosé. »

Un sourire apparut sur le visage du seigneur, avec un ton de sympathie, il lui répondit:

« Ce n'est rien, j’ai réagit pareil en étant jeune, je m’attendais à cette réaction. Je le connais bien mieux que ce que vous pensez. »

Et il sortit à son tour en laissant le maître de classe incrédule.

[ Voila ^^! La suite (si vous avez aimé) serat postée dès que je reviendrai ^^ ]
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Calypsos

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MessageSujet: Re: Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~   Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~ Icon_minitimeDim 13 Juil - 20:40

II C’est toi qui choisit

Diaz trouva le jeune garçon assis sur un rocher, il observait le louveteau barboter dans l’eau pourchasser les grenouilles; il s’approcha de lui et parla:

« Je pars dans 8 jours, si à l’aube du 8ème jours je ne te vois pas sur mon chemin à l’orée de la forêt, je pars sans toi. Si tu es là, je te prendrai sous mon aile et te préparerai pour ta rentrée à l’école. Ne te fais pas d’illusion, même si tu es plus fort que les autres elfes, il te faudra travailler d’arrache-pied pour avoir un niveau suffisant pour y aller, je ne te ferai aucun cadeau ! »

Et il repartit sans en dire plus. Sio souffla mais un sourire était venu se déposer sur ses lèvres. J’ai enfin trouvé un nouveau but à atteindre, je crois que je ne suis vraiment pas fait pour rester dans un coin à faire la sieste, faut que je consens à l’accepter. Le seul problème maintenant…pensa-t-il en regardant le petit loup. Celui-ci se sentant observé vînt le rejoindre content qu’on lui porte de l’attention, pas la meilleur hélas. Sio le prit dans ses bras et l’emmena vers les premiers arbres qui marquaient le début de la forêt profonde, il déposa l’animal et le poussa pour l’inciter à partir.

« Aller oust ! Vas-t’en ! »

Le louveteau le regarda sans comprendre, il penchant la tête de coté comme pour lui faire signe qu’il y avait incompréhension.

« Ne me fais pas ses yeux là, il vaut mieux que l’on se sépare, va rejoindre les tiens ! Démon et loup ne sont pas fais pour vivre ensemble. »

Le petite canidé jappa et secoua la tête finissant pas se planter devant le bipède, hors de question pour lui d’aller dans cet endroit tout seul. Sio dont tous ces évènements avaient mis à bout sentit une bouffé de colère monter en lui:

« Mais tu comprends vraiment rien, je suis pas ta mère ! C’est elle que tu dois aller voir ! Tu… »

Il se tut d'un coup lorsqu’il vît toute la tristesse qu’il y avait dans les yeux du louveteau, c’est drôle mais il avait l’impression qu’il pleurait. Il s’assit ou plutôt tomba à coté de lui en parlant d’une voix douce:

« Désolé, toi aussi tu as plus de… »

Les mots restèrent coincés dans sa gorge, quand le bébé loup baissa la tête les oreilles basses. Sio se rappela des mot du seigneur de guerre : « c’est ton frère. »
Cette fois c’est une bouffée de chaleur qui monta en lui; je ne suis plus seul alors, ces mots résonnèrent dans son esprit. Il posa sa main sur la tête de son frère et lui dit:


« C’est d’accord petit monstre tu as gagné, je veux bien admettre que l’on peut être frangin. C’est vrai qu’au niveau des bêtises on doit être à peu près pareils ! »

Il lui sourit, son frère loup lui sauta dessus, en jappant et en lui barbouillant la tête de petits coups de langue aussi râpeux qu’affectifs. Emporter par le poids du louveteau joyeux, Sio était tombé à la renverse, mais à présent il tenait le petit animal derrière les aisselles en le gardant hors de porter de son visage. L’excité n’était pas d’accord et s’agitait dans tout les sens pour retrouver le sol.

« Bon faut maintenant te trouver un nom ! »

Le petit loup s’arrêta et plongea son regard dans le sien. Sio sentit comme un étrange lien qui se formait et soudain une porte dans son esprit s’ouvra et une voix qui ne lui était pas inconnue résonna dans sa tête, elle disait un mot, un seul: Kiba !
Sio reposa le louveteau et observa sa fourrure noir, avec des reflet bleu nuit qui était toute douce et soyeuse, il était déjà grand pour son âge et semblait avoir de bon appui, d’une voix enjoué, il lui apprit:


« Kiba, on va avoir du pain sur la planche, tu es prêt pour aller prouver qu’on est les meilleurs ? »

Un joyeux jappement lui confirma l’affirmation de son frère.

Sio et Kiba passèrent toute la semaine ensemble, à jouer, chasser et paresser, pas beaucoup car Kiba était un hyperactif et il réveillait souvent son frère au bout de 20 minutes pour repartir, enfin bref ils profitèrent du temps qu’ils leur restèrent pour passer de bons moments en flânant. Sio était émerveiller par la complicité qu’ils avaient tous deux acquis: à la chasse par exemple, avec l’aide de Kiba il lui était plus facile de ramener de plus grosses pièces. D’un coté, s’était très pratique car le louveteau, malgré sa petite taille, mangeait deux fois plus que lui ! Le dernier jour, Sio avait bouclé ses affaires, elles tenaient dans un sac en bandoulière, avec son arc et ses flèches dans son dos et deux poignard dissimulé sur lui. Il alla faire ses adieux à son professeur, celui-ci le prit dans ses bras et lui avoua:


« Tu étais vraiment le meilleur élève de toute l’école. Tu as fais un très bon choix ! Prends soin de toi mon garçon et revient vite nous montrer tes progrès. »

Ces paroles atteignirent le cœur de Sioyë, c’est avec les larmes aux yeux qu’il le remercia et alla passer sa dernière nuit dans la forêt en compagnie de Kiba et d’autres amis.
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MessageSujet: Re: Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~   Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~ Icon_minitimeLun 14 Juil - 18:58

Pour la suite facon Caly : c'est en bas, pour la suite facon guildoux c'est dans l'autre sujet ^^
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Calypsos

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MessageSujet: Re: Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~   Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~ Icon_minitimeMar 15 Juil - 22:18

III Tu es faible !

Le lendemain Sioyë et Kiba attendaient de pied ferme Diaz. Celui-ci arriva lorsque le soleil apparut sur l’horizon. Sio trouva cela vraiment très classe, mais il ne le montra pas et resta appuyé sur son arbre les bras croisés, avec Kiba à ses pieds.
Le seigneur eut une lueur dans ses yeux, mais Sio ne sut pas ce qu’elle signifiait, il commença à le saluer:


« Bonjour seigneur, je suis prêt à vous suivre ainsi que votre préparation. »

Son nouveau maître baissa les yeux vers lui:

« Yo gamin, c’est très bien mais as-tu bien réfléchit ? »

Le jeune garçon acquiesça. Diaz en fut enchanté et remarqua avec plaisir que le jeune loup avait grandit et semblait très bien se porter:

« Tiens Kiba tu as grandit, ton frère est gentil avec toi ? »

Le louveteau lui répondit affirmativement par télépathie. Diaz se mit en route à travers la forêt, au bout d’une heure de marche active à travers les immenses dômes feuillus, ils atteignirent une clairière. Pendant que Kiba se désaltérait et cherchait des yeux quelques grenouilles à embêter. Diaz se tourna vers son élève:

« Désormais tu emploieras les termes maître et seigneur Diaz. »

Il attendit que son interlocuteur acquiesce pour rabattre son capuchon en lui disant, d’un ton sec:

« Maintenant attaque moi ! »

Sio resta un moment sans voix, par contre Kiba lui avait réagit au quart de tour et s’attaquait à présent à la botte du seigneur de guerre. Celui-ci eut un petit sourire, mais quand il s’adressa au garçon son regard était glacial:

« Même un louveteau est plus réactif que toi, tu crois de tes ennemis te laisserons le temps de réfléchir ? Bouge toi ! »

Sioyë encaissa durement la remarque, il s’élança avec colère droit sur son maître en indiquant à son frère:

« Kiba derrière ! »

Le louveteau abaissa ses pattes arrières pour se projeter derrière lui, l’action avait été très rapide .L’élève serra les dents, effectivement son temps de réaction était beaucoup trop lent. La colère le gagnait, il s’éleva dans les airs pour abaisser son poing en direction de son adversaire. Diaz ne réagit qu’au dernier moment, il prit la main de son élève et l’envoya voler contre un arbre. La riposte avait été trop rapide, trop puissante… incapable de se réceptionner à cette vitesse, il prit le tronc de dos. Le choc fut intense, Sio en eut le souffle coupé, à peine il eut touché le sol et qu’il avait tenté de se relever, il eut le visage de son maître devant le sien. Son seul réflexe fut de mettre ses mains en guise de bouclier, sans utilité. Le coup vînt du bas, il projeta le gamin dans les airs, Sioyë ne distinguait aucun coups, aucuns gestes, les mouvements de son maître étaient flous et indistinctes. La douleur quand à elle, lancinante et tortueuse, était bien là, elle déchirait le corps du garçon. Son séjour dans les airs fut ponctué de coups rapides mais néanmoins puissants pour le jeune élève. Sa chute sur le sol, bien que douloureuse, mit un terme au combat, ce fut donc un moment de soulagement pour le pauvre élève. Diaz retomba souplement sur le sol. D’une voix dure et sèche il lui dit:

« Tu es trop faible, tu n’as aucune technique. Je n’ai usé qu’un dixième de ma force. Si tu veux me suivre entraînes toi, sinon tu n’as qu’a mourir ici ! »

Sur les joues de Sioyë, des larmes coulaient, plus de colère que de douleur. Jamais il n’avait été autant humilié. En colère, oui, contre lui-même; il se redressa et essuya le sang qui coulait du coin de ses lèvres. Le louveteau lécha doucement les plaies apparentes de son frangin et l’incita à se relever. Le blessé, s’appuya sur la surface terreuse puis se leva avec difficulté. Son maître commençait déjà à repartir, l’élève serra les dents et avança à sa suite en boitillant. Ils marchèrent toute la journée sans une pause pour manger, ils buvaient même en marchant. Sio avait bu goulûment pour masquer sa faim, quand sa gourde fut vide, il voulut s’arrêter pour la remplir. Mais quand il vît que le dos de son maître s’éloignait sans l’attendre, il se résigna et repartit la tête basse. Le soleil se coucha lorsqu’ils atteignirent la grande eau. Le trio marcha jusqu’à la tombé de la nuit pour trouver un endroit pour dormir. Sio trouva de l’eau fraîche pour boire et pour remplir les gourdes tandis que son maître faisait grillé les brochettes de viande. Kiba quand à lui déchiquetait consciencieusement la proie qu’il avait chassé quelques heures plus tôt. Lorsqu’il s’assit près de son entraîneur celui-ci lui demanda:

« Enlève ta tunique ! »

Le garçon s’exécuta et Diaz parcoura son regard sur son haut du corps, après une rapide inspection, il lui appliqua des bandes chaudes et humides sur les plaies de son élève, Kiba vînt gentiment lécher les autres. Cela lui fît du bien, il remercia son maître d’un mouvement de tête et alla se coucher. Le louveteau se blottit dans les bras de son frère en se collant contre son torse.
Après une courte nuit, Sio avait supporté de son frangin, les ronflement incessant partit à l’aube pour chercher un endroit où s’entraîner Kiba à sa suite. En chemin il trouva quelques baies pour son petit déjeuner, Kiba avait eut le droit au reste de viande froide de son compagnon. Sioyë avait remarqué que malgré quelques courbatures il se portait bien mieux qu’hier et les plaies de ses bras avaient disparues… Il se demandait si son ptit loup n’avait pas un certain pouvoir de guérison, il lui demanderait par télépathie lorsqu’il aurait grandit, car pour le moment le louveteau ne pouvait pas aligner plus de 3 ou 4 mots, ce qui donnait des phrase comme: J’ai faim, je suis fatigué, j’ai soif, besoin urgent, jouer etc. …
Il s’assit près de la mer pour regarder le soleil se lever, il découvrit au abord de la côte, une multitude de rochers faisant office de digue. Il eut une illumination et se dirigea vers ce qui allait être son terrain d’entraînement. Pendant 3 jours, il s’entraîna avec l’aide de Kiba à sauter de rocher en rocher le plus rapidement possible. Comme le louveteau avait des capacités supérieures à Sio, tout deux faisaient la course à longueur de journée. Chaque soir la petite boule de poil, rentrait tout fier de lui, ayant battue une bonne multitude de fois son frère. Il allait voir Diaz, tout fringuant, tout fringuant et regardait avec un petit air supérieur son frère. Ce manège amusait beaucoup le maître mais un peu moins l’élève qui se sentait un peu ridicule, se qui accentua encore son envie de devenir plus fort. Mais au bout du troisième jour, en fin de journée, Sio battait son louveteau aisément. Du coup le louveteau se mit à bouder et son frère eut toutes les peines du monde à ne pas rire lorsque du haut de ses trois pommes et lorsqu’il le croisait, Kiba tournait et levait sa tête et son museau dans la direction opposé à celle de Sio en fermant les yeux et en pinçant les babines. Mais en fin de soirée, lorsque la nuit tomba, il dut se résoudre à faire la paix, pour retrouver la douce et apaisante chaleur que dégageait son frère lorsqu’il dormait. Quand Sio sentit le petit loup se glisser sous sa cape, il le câlina quelque peu avant de s’endormir épuisé par tous ces efforts. Le lendemain, ils plièrent bagages et longèrent la côte jusqu’à ce qu’ils rencontrèrent un promontoire donnant sur la mer, Diaz sur un ton naturel leur raconta:
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MessageSujet: Re: Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~   Une ptite Histoire Né de ma pauvre tête ~ Icon_minitimeMar 15 Juil - 22:19

« C’est le promontoire sous l’eau, fais de rocher, les habitants de cette contrée voulait en faire un qui s’avance le plus possible dans la grande eau. Hélas la mer n’étant pas d’accord lance ces vague d’écume sur celui-ci. Ce qui, par conséquence, ne permet pas l’accès à celui-ci… sauf si l’on est doté d’une vitesse supérieure à la moyenne. »

Et il laissa Kiba et Sioyë observant cette avancée de rocher tandis qu’il partait à la recherche d’un coin tranquille pour dormir. Sio analysa l’information donné par son maître, il ne lui parlait pas souvent, mais ses phrases étaient pleines de sous-entendus. En observant les allers et retours de la vague, il s’aperçut qu’il y avait un laps de temps à peut près égale entre chaque mouvement, le duo descendit rapidement pour se mettre au début de cet amas de rocher, Sio s’adressa à Kiba:

« Il est temps de savoir si l’entraînement à été efficace ! »

Le petit loup lança un jappement plein de détermination, ils attendirent que la vague arrive et quand elle repartit, il la suivirent, mais arriver à la moitié de la digue, une autre vînt à eux, Kiba se retourna si tôt qu’il avait vu la vague, la queue entre les pattes, il courait comme un dératé avec de petit couinements. Sio quand à lui fut submergé par la vitesse et la puissance de la vague, il ne réagit pas tout de suite, grave erreur comme la dernière fois, décidément la leçon avait du mal à rentrer. Quand il reprit ses esprits, Kiba avait déjà deux mètres d’avance, il se retourna pour le suivre, mais à peine il avait 3 mètres qu’il fut engloutit par la vague. Il s’accrocha donc à un rocher de toutes ses forces sans peines d’être emmener par cette masse d’eau. Quand la vague fut passé, il se dépêcha d’aller au point de départ, mais il ne vît pas Kiba, prît de peur que son frère eut été emporté, il l’appela de toutes ses forces, un jappement lui parvînt du promontoire, il avançait de quelques mètres et découvrit un trou avec le louveteau trempé en train de le regarder avec ses yeux pas content du tout. Trop pressé d’échapper à la vague il était tombé dans ce creux. Avec ses grands yeux tout rond il avait vu venir la vague, puis il s’était tassé dans un coin pour être ensuite engloutit, puis essoré puissamment dans tout les sens par ce machin salé et aqueux. Maintenant il était devant son frangin qui était aussi dégoulinant que lui, mais avec un grand sourire au lèvre, Sio trouvait très drôle de le voir dans cet état là. Mais les retrouvailles allaient être écourtée par l’élément aqueux qui revenait à la charge. Cette fois Sioyë n’hésita pas une seconde, il prit Kiba et commença à courir coursé par la vague, mais la berge était bien plus près que la dernière fois, donc ils purent la regagner sans être rincé encore une fois. Le garçon récapitula:

« Bon le promontoire fais 20 mètres, il y a un laps de temps de quelque seconde à peine entre le moment où la vague arrive jusqu’à son début, de plus, le terrain est très inégal et très humide. En clair… Nous avons beaucoup de travail ! »

Kiba et Sio se regardèrent avant de glisser leur regard vers la fin du promontoire. Le garçon déclara d’une voix plus que déterminée:

« En avant ! Allons atteindre notre but ! »

Pendant toute la fin de journée, on pouvait apercevoir un duo composé d’un jeune garçon aux oreilles légèrement pointues et d’un louveteau au pelage bleu nuit faire la course avec la mer. Du haut de son poste d’observation, Diaz souriait. Décidément j’ai trouvé un apprenti plein de ressource et surtout avec des capacités d’apprentissage surélevées. Et il retourna au campement pour préparer son repas. Lorsqu’ils furent enfin de retour au camps Sio et Kiba était rincer dans tout les sens du terme, mais heureux, ils avaient réussis à traverser la moitié du promontoire sans se faire mouillé. Tout deux s’étalèrent et s’endormirent de suite sous le regard étonné du maître voyant ses troupes aussi remonté.

« Ah les jeunes, quelle énergie ! » soupira Diaz.

Le lendemain et le surlendemain le même entraînement se renouvela, à la fin de quelques jours, Sio et Kiba était sur le début du promontoire. Il le regardait d’un air assuré, lorsque la vague commençait à peine à descendre, ils étaient déjà au quart du chemin. Il arrivèrent au bout et se retournèrent et se mirent dos à la vague en fermant les yeux. La vague arrivèrent sur eux, elle toucha les premiers rochers et s’apprêtait à les engloutir lorsqu’ils partirent enfin. Rapide et d’un pied sûr, ils traversèrent l’amas de rocher sans problème laissant leur ennemis derrière eux. Arrivé au bout, ils sautèrent de joie, ils y étaient arrivés !

« On le refait une fois pour le plaisir Kiba ? »

*Sans problème crâneur !* Lui répondit télépathiquement le jeune loup

La petite boule de poil bleue, commençait à grandir ( de quelque centimètres) mais de ce faite, sa capacité mentale s’était développée. Les deux frères firent l’aller rapidement, et se mirent en position une fois au bout, mais cette fois surprise ! La vague qui arrivait vers eux était 2 fois plus puissante et rapide que les précédentes. Sans plus attendre le duo partit en donnant le meilleur de lui-même, cet monstre aqueux allait les prendre de vitesse, ils dépassèrent leur limite et au prix de nombreux effort, ils virent la fin du promontoire arriver vers eux. Tout deux sautèrent lorsque la vague engloutit l’amas de rocher, pour se rétablir avec souplesse sur le sol, les grain de sable volèrent au dessus de ce couple essoufflé et surpris de la réussite de cette épreuve. Lorsque la poussière sableuse revînt à sa place laissant le soleil inondé le visage de ce duo aux compétences remarquables. Sio se redressa lorsqu’il entendit un applaudissement, sur un monticule de pierre, son maître était debout en train de les félicités, il descendit et s’avança vers eux avec un petit sourire de satisfaction.

« Pas mal, tu es devenu un peu plus fort. La surprise vous a plu ? »

Kiba et Sio le regardèrent d’un air suspicieux, ce fut le garçon qui trancha le silence en premier:

« Tu veux dire que… Vous êtes à l’origine de cela ? Mais… comment ? »

Son maître rit quelque peu, puis lui répondit:

« C’est mon secret ! »

Puis soudain, alors que Sio s’était baissé pour félicité son frère, il s’écria :

« Sio attaque ! »

Le garçon, contrairement à la dernière fois, réagit immédiatement: tout comme Kiba il se propulsa en arrière et fit un demi tour dans les airs pour se retrouver en face de Diaz, une fois que un de ses membres effleura le sol, il se projeta vers l’avant. Mais cette fois il vira au dernier moment pour se retrouver de profil, et cette fois il pu montrer à son maître ces talents au corps à corps. Il posa une main au sol pour prendre appuis dessus et lever sa jambe contraire et aller le frapper au visage. Diaz para l’attaque et voulu attraper la jambe de son élève. Mais Sio exécuta un battement et cette fois ce fut son autre membre qui visait à présent les côtes de son adversaire. Le seigneur fit un bond en arrière, pendant ce temps là le jeune combattant s’était élevé dans les airs grâce à la force de son bras sur lequel il s’était appuyé. Malheureusement il se trouvait de trois quart de dos à son adversaire, Diaz bondit à son tour et arma son bras pour frapper au niveau de la tête, Sio resta sur ces gardes, il esquiva le coup et instinctivement plia ses avant-bras et mis ses paumes en avant de son ventre. En effet son maître ayant raté sa première attaque partait vers l’avant, cela était une diversion car il effectua une rapide rotation et balança violement sa jambe vers son élève. Celui-ci ayant deviner son attaque, para de son mieux, hélas le coup était plus puissant qu’il ne le laissait pensé. Sioyë fut projeté en arrière avec le choc, mais réagit immédiatement et se réceptionna sur la paroi vertical de la falaise rocheuse. Grâce à cet appui, il se propulsa rapidement vers Diaz. Pas de chance pour lui, son maître avait déjà repris une position de combat, il prit son élève et le lança en direction du sol rocailleux. Sio émit un bref sifflet, presque instantanément derrière lui se trouvait Kiba, qui en sautant ainsi vers lui, permettait au garçon se s’appuyer sur son dos et, de ce faite, retomber correctement au sol. Une fois tous deux à terre, il se remirent en position en attendant avec détermination la prochaine attaque… qui n’arriva pas. Diaz les regardait assis sur un rocher et leur faisait signe d’approcher. Une fois qu’ils furent assis, Diaz prit la parole:

« Bon tu es toujours aussi faible mais il y a du mieux. Ne sois pas si fier tu as à peine atteint le niveau que tu dois avoir pour commencer l’entraînement et pour commencer le voyage. »

Sio fut bouche bée par la réponse de son maître:

« Alors comme cela j’ai rien commencer du tout, et tout le chemin que l’on a fait ! »

Diaz le regarda d’un air supérieur:

« Tu crois que les chevaliers se déplacent tel des tortues ? »

Il s’approcha de lui jusqu’à ce que leurs visages ne se trouve qu’a quelques centimètres et lui murmura :

« La vitesse que tu as atteins lors de ta dernière course, c’est la vitesse minimum à laquelle se déplace un élève de premier rang dans l’école ! »

Il lui fit un petit sourire, puis lui fit signe qu’ils devaient rentré pour se remettre en route, laissant son apprentie sur place, l’air épuiser par les efforts qu’il allait devoir fournit en quelques jours. Et lui qui pensait aller vite maintenant. Il redressa la tête et regarda le ciel sans nuage. Bon eh bien le chemin du titre du plus fort est long, dur et à l’air génial ! Pensa-t-il avec joie .
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