Les aventues des guildoux ^^

Les aventures du ptit Nozow

Connaissez vous Nozomu le célèbre féca et sa drôle de ptite bande la Soul of dreams ? Nan ? Mais vous êtes nul !! Bon il va falloir que je vous raconte TOUTE son histoire palpitante. Hein ? Pas envie de l’entendre ? Bah la lis pas alors, mais de toute façon tu l’entendra bien un jour car elle deviendra légende, mythe, épopée !

Un ptit résumé jusqu’à nous ^^ !

C’est un soir de pleine lune, où le puissant cri du Nozo retentit dans la nuit, il s’agissait d’un mélange entre un miaulement de chaton et un bruit très sympathique dont on retiendra le son « Né ». C’est ainsi qu’un chérubin aux yeux bleu angéliques et à la touffe de cheveux d’un gris argenté sur le haut du crâne vît le jour.
Le premier mots qui franchit sa bouche ne fut pas « papa » ou « maman » mais bien « plop ». Et oui le destin de Nozomu fut tracé à cet instant là.
Le bambin ne savait point marcher que déjà on le voyait taper sur tout les troupeaux de bouftous qu’il croisait armé de son bâton de bois et de son fidèle chacha dans les plaine de Jehada.
Puis ce gosse braillard et tapageur grandit pour aller rencontrer la sagesse suprême. Les joues ronde et les grand yeux bleu empli d’étonnement devinrent un visage de glace au yeux gris sauvage qui vous toisait du haut de sa monture: sa dragodinde amande-doré nommé sublimement Vénus ! Il était devenu un adolescent têtu et effronté qui marchait d’un pas majestueux sur la voie la grandeur. En chemin il y rencontra le très grand Sir Allister, il devînt son idole et participa à tout ses concerts ! ( a non j’me goure la >o< ) Bien sur il rencontra bien des personnes comme Dieu ou alors ses fidèles bras droits Kaku et Alcestos sans oublier l’adorable Lady-Serena, mais leur aventures vous viendront après aux oreilles. Nozo devînt un beau jeune homme au allure angélique mais au cœur démoniaque qui décida de se fonder une place sur cette terre impitoyable, mais pour cela il lui fallait des alliés sur qui il pouvait compter. C’est ainsi qu’il fonda la Soul of dreams et qu’il y maintien cette ambiance si pacifiste entre démon par sa sagesse et son autorité légendaire….
A présent laisser vous entraîner dans ses différente aventure qui a fait de lui le meneur que l’on connaît et que l’on respecte tous.

Chapitre 1 ou comment Nozo est passé de l’enfance angélique à l’adolescence démoniaque.

Pour tout vous dire, la famille de Nozo avait décider que leur petit prince avait des allure d’un ange et que pour cette raison il allait en devenir un !
C’est vrai qu’avec ses yeux bleu saphir encadré par une cascade de cheveux argenté souvent noué en catogan, il ressemblait à un ange. Seulement la ptite bouille friponne à son âge s’en fichait pas mal tous se qui l’intéressait était de démonter les bouftons et de manger ses cawottes pour devenir aimable. Seulement un gamin mangeant tranquillement ses cawottes est une illusion, un mirage qui cachait l’âme rebelle de Nozo.
Le gaillard aimait bien les sorties au clair de lune sous l’œil endormis de ses parents. Nozomu avait ramassé une quantité gargantuesque de laines, cornes et dent de bouftous de guerre ( plus le nombre de pantalons déchiré au niveau du fessier). A ce propos Nozo se rappellerait à jamais le jour où sa mère l’avait vêtu d’une coiffe et d’une cape jaune flash ultra fashion de piou jaune. Le garnement s’était laissé habillé avec une moue méprisante pour cette tenue de plouc, mais n’avait rien dit. Cependant lorsqu’il rentra le soir même, il transportait la panoplie en lambeau boueux où de sévères traces de morsures parsemaient les bouts de tissus restant, seuls ces mots traversèrent sa bouche:

« Les bouftous sont très friand des pious mutants… »

Depuis ce jour sa mère ne toucha plus jamais sa garde robe. Celle-ci était à présent garni d’une somptueuse pano d’aventurier formagée pour un de ses anniversaires.
Mais revenons à nos moutons, ou non laissons les de coté et suivons Nozo au cimetière. Le morveux bavant à 4 pattes était à présent un petit garçon transgressant avec plaisir encore et encore les règles de ses parents notamment celle de ne pas se promener au milieu des tombes.
Mais si il était en bande ce n’était pas pareil ???
C’est comme cela que Nozo acquérait de l’expérience sous le sabre tranchant et meurtrier des chafers. C’est aussi à ce moment que le féca apprivoisa son propre chafer.
Comment avait il réussit ?
Non, il ne l’avait pas menacé de mort, ces squelettes ambulant étaient bien trop têtus pour céder à se caprice. Notre cher Nozomu avait attaqué un simple chafer et lorsque celui-ci s’approcha, il ne lui donna pas un bon coup de bâton bien placé mais une bonne patate dans les quenottes. Avec le choc elle tomber au sol sur lequel le guerrier s’assit tranquillement et invita le squelette amoché à faire de même ( par mesure de précaution, il avait jeté une glyphe d’immobilisation mais qu’il omet de dire lorsqu’il raconte son tour de force.) Le chafer l’observa un moment interloqué ( on lui avait jamais fait celle la); Nozo lui fit un grand sourire, lui tendit une bière bien frappé munit d’une paille et lui lança:

« Bah quoi ? Tu sais pas jouer aux osselets? »

C’est ainsi que viens le proverbe: « Ne et promène jamais au cimetière sans quelques dents et une bonne bière dans tes poches ! »
Au bout de quelque temps, Nozo se lassa des visites goûter tout les dimanche chez l’amical milimoulou, il voulut savoir se qui se passait dans le monde du bas. Incarnoob c’est bien mais on stagne vite surtout avec les parents sur le dos. Il se dissimula avec un pote sram pour descendre à Astrub. Ce qu’il y vit le dégoûta profondément: des anges ! Partout où il allait ces figures angéliques se pavanaient avec leurs auréoles blanches et sois disant bienfaitrice… quelle horreur ! Mais étant un rebelle, il était hors de question de se mettre à genou devant ces individus qui prétendaient faire la justice dans ce bas monde. Non ! Il allait plonger le monde dans l’enfer et le chaos le plus total !
Or lorsqu’il rentra, il tomba nez à nez avec ses parents qui lui dire à l’unisson:

« A partir de maintenant tu feras partir de la communauté des anges comme toute la famille ! »

Pour la première fois dans sa jeunesse, Nozo sentit la haine monter en lui envers ses proches, il perdit son sang froid et hurla:

« Jamais de la vie je m’inclinerait devant les anges ! Je maudit cet alignement sans intérêt et sans but ! Jamais je en choisirait la facilité ! Je tuerai chaque plumes blanche qui croiseront mon chemin vers l’enfer ! »

Son père le gifla avec force, la tête de Nozo ne fit un quart de tour mais un filet de sang coula du bord de ses lèvres, il sera les poing et essayait de refouler la fureur qui l’incendiait. Ses parents en étaient blême et l’enferma dans ses appartements et lui interdisant de descendre en bas.
Les jours et mois passèrent… Nozo avec une détermination inébranlable préparait soigneusement son départ. Pour partir, il avait besoin d’argent pour se trouver une bonne panoplie et surtout une bonne arme. Il décida de devenir bijoutier. Il établie une stratégie basé sur le souvenir de sa pano piou jaune. Il créa des bracelets et amulettes qu’il vendait au mère de famille et derrière il vendait des objet de la pano aventurier aux enfant dégoûtés par la pano piou. Avec ce petit manège il gagna bientôt assez d’expérience et d’argent pour fabriquer et formagé sa propre pano bouftous.
Un beau jour , lorsqu’il avait fini son paquetage, il voulut pousser la porte d’entré de la maison quand soudain la voix de son père retentit dans l’ombre:

« Es tu sûr de se que tu es en train de faire ? »

Nozo sans se retourner lança d’une voix claire:

« Je ne pourrai jamais trouver ma place parmi vous et encore moins réaliser mes rêves… »

Et il partit sans plus attendre.
Comme son oncle s’occupait de la montgolfière qui reliait les deux mondes et qui lui était donc impossible à emprunter, le féca s’était fabriquer des ailes pour parvenir en bas de ses propres moyens. Nozo s’approcha de la limite du monde et aperçut vers le bas la ville d’Astrub. Il prit son aspiration et eut pour derniers mots:

« L’oisillon quitte son nid… »

Et il sauta dans le vide…
Il plana longtemps dans le ciel avant de tomber entre les corne de la jolie statue représentant une fécatte armé jusqu’au dent sous le regard ébahit de la foule.
Il descendit tend bien que de mal et les poing sur le hanche regarda autour de lui…

« Bon bah direction Brakmâr maintenant ! »

Il allait faire un pas lorsqu’un homme enveloppé dans une cape le retînt par l’épaule. Quand Nozo croisa son regard il entrevit deux yeux rieur et une peau un peu verdâtre et une forte odeur de végétaux: un sadida !
L’inconnu lui souffla quelques mots :

« Tu as l’air d’être un bon ptit diable toi! Tiens prend ces dagues et cette potion et adresse toi au premier gars que tu vois lorsque tu auras bu le liquide rouge de cette fiole, sa pourrait t’aider ! »

Et il partit en sifflotant l’air de rien.. Nozo avait croisé DIEU !
Le jeune garçon avait sentit de la sincérité dans les paroles de l’inconnu, il bue donc le liquide qui avait un léger goût d’alcool et de… riz ?
Ah peine eut il le temps de faire « hips » qu’il se retrouva devant un démon à l’air très menaçant, le mercenaire le toisa et lui demanda:

« Bah alors ptit mouchard, te voila à Brakmâr ! Si tu veux devenir un démon essaye de battre le chafer là-bas je serait curieux de voir combien de temps il va te falloir pour appeler ta mère ! »

Du haut de son level 20, Nozo le défia du regard et très sur de lui marcha vers le chafer et le défia. Sous le regard étonner du squelette, il sortit une bourse pleine de dent à sa droite et deux choppe de bière à sa gauche. Le chafer sourit et s’assit à ses coté en ricanant:

« Alors c’est toi qui est à l’origine de ce bordel ! Et bien bravo à cause de toi notre réputation en a prit un coup ! Enfin bref tu me plaît bien j’vais te passer un os que tu donnera à l’autre andouille de garde pour que tu deviennes un démon. N’essaye pas de faire ses quêtes d'ignare, va plutôt près des prismes et combat pour monter en grade ! »

Après avoir bu un coup avec le chafer hocher la tête à ses explications et avoir reçu sa paire d’aile, Nozomu partit conquérir le monde sous le drapeau des enfers !

Chapitre 2 ou comment Nozo s’ est lié d’amitié avec le sanguinaire et imposant Kaku !

Le pas assuré et fier, Nozo se promenait à travers les paysages désolés des alentours de Brakmâr. Les vapeurs de souffre venant des torrents de lave gonflaient les sinistres ailes couleur rubis ornant la stature inquiétante et mystérieuse du féca. A travers cette pénombre ponctuée de taches lumineuse où se mêlaient l’onde argenté de l’astre de glace et le sang des voyageurs inconscients; la tête haute, les cheveux proies aux vents infernaux et le regard empli de mépris, Nozo se rendait à la cité mère.
Il arriva sur le pont fait de cartilages et autre os d’origine angélique où la mer de feu, en dessous, semblait faire mine de vouloir vous dévorez. L’odeur du sang et du souffre vînt flatter l’odorat du démon. Mais lorsqu’il franchit la lourde porte de marbre noir, une sensation infecte s’insurgea pour troublé l’harmonie de l’enfer. Le regard de Nozomu devînt haineux:

« Ces pourritures d’anges viennent d’eux-mêmes dans les crocs de Cerbère… »

Le féca diabolique s’élança dans les ruelles sombres. Plus il se rapprochait de son but plus ses foulées grandissaient, le rendant invisible à la vue de simple passant. Son cœur battait furieusement dans sa profonde poitrine au rythme de sa colère grandissante, ses cheveux virevoltaient autour de son visage ténébreux où les reflets couleur sang donnaient l’impression qu’il était entouré d’une aura enflammé. Récitant instinctivement quelques incantations, il se vît entouré de ses précieux et combien utiles globes protecteurs. Il s’élança dans une courbe ascendante en direction de la lune et pendant sa pirouette aérienne, il posa la main sur son fidèle bâton accroché dans son dos.
Mais lorsqu’il atterrit avec souplesse et silence sur les tuiles humides d’un toit tombant en ruine et surplombant la place, un spectacle stupéfiant arrêta sa course folle.
Au centre de la cour se trouvait un sacrieur debout les bras croisés, ses long cheveux noirs jais tranchaient sur sa peau de nacre, le liquide de la vie sillonnait ses bras et tombait, goutte à goutte, sur le sol tel une pluie mortelle… il ne lui appartenait pas. D’étranges fluides rouges menaçant tournoyaient autour de sa somptueuse silhouette. Mais si sa présence en imposant ce fut l’expression de son visage qui fît naître un frisson chez Nozo. Deux yeux perçant ou se dégageaient une envie de sang grandissante foudroyaient ses futures victimes, un sourire sadique et méprisant flottait sur ses lèvres, de cet ensemble s’échapper une sorte de folie sanguinaire palpable.
Or les six figures angéliques l’entourant ne se rendirent pas compte de la présence oppressante de la mort, peut être à cause du nombre. Ils se jetèrent tour à tour sur le sacrieur qui resta telle une statue dominant l’espace. Les armes tranchèrent la chair du démon lui laissant de multiples plaies sanguinolentes, mais aussi étrangement que cela puisse paraître, plus il frappait plus le démon semblait sourire et une incroyable monté de puissance croissait en lui. Soudain il y eut comme une étincelle, le démon d’un mouvement lent décroisa le bras et les laissa tomber de chaque coté de son corps, un flux lumineux illuminait doucement ses mains…

« Je croit que c’est un mon tour de jouer… »

Et il s’élança dans sa danse de mort. Broyant, détruisant, désintégrant tout sur son passage, il tuait un à un les anges ayant osé l’agresser. Tout à coup une masse d’arme plongeait dans son dos et direction d’un point mortel. Le sacri n’eut pas le temps de réagir que l’arme se retrouva bloquer à 2 centimètre de son visage à présent retourné. Lorsqu’il baissa les yeux il entrevît un féca qui, malgré ses cheveux couleur lune, avait l’air d’avoir le même âge et la même expérience que lui. Celui-ci avait contré habillement l’épée du iop angélique, seulement vu la puissance du coup, il n’allait pas tenir… Le sacri poussa un soupir et tira son coup de chance par le col et envoya valser au loin le malheureux iop. Alors qu’il regardait si tous les emplumés avaient disparut, une petite voix étouffé lui demanda:

« Et si tu pouvais me lâcher maintenant ce serait bien aimable de ta part »

Le sacri baissa ses pupille vers le corps du féca qui, étrangler par le tissu que gardait sa main, passait par toute les couleurs. Il le lâcha négligemment sur le sol sur lequel le féca atterrit avec un bruit mat. le tueur se gratta un moment les cheveux puis avec un soupir il souffla:

« Et avec sa j’ai loupé l’heure de la sieste… aaaah ils sont chiants à toujours me réveiller ces bon à rien ! »

Nozo en resta bouche bée, le jeune homme devant lui était vraiment le même que celui du combat ? Malgré cette aura toujours terrifiante et sa mauvaise humeur, il n’y avait plus aucune envie de meurtre dans ses yeux. Il se redressa, rangea son arme et répondit:

« Ouai bah pas de quoi, ravi de te rendre service, un petit merci me dérangerais pas du tout ! »

Le sacri se retourna haussa un sourcil et sortit:

« Oui bah toi tu m’as déranger, s’était mon combat, t’avais rien a y faire ! »

Nozo eut un petit rire et répliqua:

« Quoi ? Tu veux rire ? Sans moi tu étais mort ! »

L’autre démon lui lança un regard noir:

« C’est pas un poltron comme toi qui va me faire la leçon ! »

Nozo soutînt son regard et avec un sourire mauvais lui répondit:

« Je crois que si, et je suis bien supérieur à toi ! »

Avec une pointe d’envie, l’autre ricana:

« C’est un défi ??? »

Nozo planta son regard dans le sien:

« Pourquoi pas ! »

Le sacri jeta sa tête en arrière et un rire puissant s’échappa de sa gorge:

« Ahahaha ! Tu m’fais bien rire ! Ok mettons nous chacun près d’une porte de la ville d’Astrub et celui qui à tuer le plus d’anges au coucher du soleil à gagné ! »

Le féca se retourna et lui lança:

« Prépare toi à perdre ! »

Et les deux démon partir démonter les victimes de leur défi… Après trois bonnes heures de massacres, les deux adversaires se retrouvèrent. Le sacri d’un ton supérieur lui apprit:

« 39 tu dis mieux ??? »

Nozo fît les yeux rond:

« Pareil ! C’est pas possible ! Tu as triché ! »

Le sacri répondit négativement, du coup Nozo lui proposa un autre défi.

« Ah non j’ai trop le sum de me refaire un duel, tu me soûl lâche moi ! »

Nozo avec une pointe de malice rétorqua:

« Pas question Kakuuuuu »

Le sacri tiqua à la sonorité de son nom et avec les nerf à fleur de peau s’écria:

« Kakou ! Sa se prononce comme sa ! Et puis comment t’as su mon nom ? »

Nozo émit un petit rire:

« Oohoh mais c’est qu’il est énervé ! Bah il m’a suffit d’interroger deux ou trois anges que tu avais croisé ! Bon alors accepte sinon j’t’appelle comme sa tout le temps ! »

Le dénommé Kaku eut un soupir empli de lassitude et déclara sur un ton morne:

« Ok c’est quoi ton truc à la con ? »

Sur un ton très sérieux Nozo lui répondit:

« On va s’faire la guilde Impact ! »

Le sacri releva la tête d’un air intéresser et dans ses yeux l’envie de sang revînt, Nozo su qu’il avait gagné. La guilde impacte vît ses percos disparaître uns à uns malgré leur résistance ardues. Le duo infernal faisait un carnage partout où il frappait. Jamais il n’avait combattus ensemble et pourtant leur danse de al mort était parfaite. La force brut mêler à une défense parfaite était l’arme la plus redoutable qui pouvait exister.
Depuis ce jour la Nozo et Kaku devinrent inséparables. Un beau jour lorsqu’ils savouraient un bon saké, Nozo prit la parole:

« Kaku faut que je te demande un truc ! »

Le sacri le regarda d’un air désolé et le coupa:

« Nozo, tu as trop bu, tu vas dire une connerie… »

Et le féca lui déclara:

« Tu veux pas qu’on se marrie ?? »

Kaku mis une main sur son front devant la bêtise de son ami.

« Sa y est tu l’as dit ta connerie ! Nan veux pas ! »

Son compagnons rit doucement puis se reprit:

« J’men doutais un peu… non sérieusement se te dirai de créer une guilde avec moi ? J’ai besoin de personne comme toi pour plongé ce monde dans l’enfer ! »

Le sacrieur eut un moment de réflexion, Nozo plongea son regard dans le sien. Finalement il lui dit:

« Mouai sa pourrai être drôle, mais tu as intérêt à me mettre bras droit ! »

Nozo avait déjà repris une gorgé et répliqua:

« Bah pourquoi sa te plaît pas bras gauche ??? »

Pour seul réponse il eut un coup dans le ventre. Et c’est sur cette belle amitié que notre guilde vît le jour, dont cette valeur est transmise à chaque membres…

Chapitre 3 ou comment est arrivé le premier membre de la guilde ^^

Nozo et Kaku, inséparables, se promenaient comme à leur habitude. Il était intéressant de voir que malgré leur différences s’opposant, tous deux s’entendaient au mieux. Frères de combat, leurs esprits en étaient synchronisés. Alors que l’un, le visage fermé restait plongé dans ses sombres desseins, un doux sourire et un regard rêveur posé sur un horizon aussi lointain qu’imaginaire illuminaient son visage. Pourtant lorsqu’un bruit vint surprendre leur ouïe fine, tous deux se positionnèrent vers ce son inconnu. Les muscles tendus, les sens aux aguets et la main entourant la garde sécurisante de leur arme.
Le bruissement des épais végétaux se fît plus sonore, des martèlements sourd et rythmés arrivaient rapidement dans leur direction. Les jambes se fléchirent, les doigts resserraient leur étaux sur l’arme empoignée… Ils allèrent frappés quand soudain:

« PLACE ! »

Sous les pupilles dilatées de stupeur et sous leur expression ahurie , se trouvait un pandawa bondissant au dessus des fourrés. Le visage écarlate, les traits crispé, les yeux affolés et le souffle irrégulier. Le jeune humanoïde passa en coup de vent entre les deux gaillards encore éberlués.

« Pardon ! S’cusez ! »

Et il continua à galoper, dégingander comme un fou furieux. Kaku l’air suspicieux, observait la silhouette disparaître au loin…

« Mais quel moskito a piquer ce cré… »

Il fut interrompu par son compagnon qui lui tapotait l’épaule avec insistance, signe de se retourner prestement dans la direction opposée:

« Kaku… je crois que les cawottes sont cuites ! »

Nozomu pointait un doigt tremblant vers un horde folle furieuse de sangliers des plaines. Si il avait été cinq ou six, les deux démons ne se seraient pas dégonflés…mais face à une quinzaines de porcins enragés, ils n’avaient plus le choix.

« Nozo ! Cours !! »

Le féca ne se le fit pas dire deux fois, les deux amis prirent leurs bottes à leur cou et piquèrent un sprint à faire pâlir une dragodinde…qu’ils n’avaient point. Très vite ils retombèrent sur le pandawa qui avait ralentit quelque peu sa cadence mais du bien vite se résoudre à reprendre le même rythme effréné de ses deux autres compagnons d’infortune. Tout les trois galopaient maintenant dans l’immensité des plaines de Jehada. Après un petit moment qui leur parut une éternité, Nozo s’était remis de sa surprise et se plongea dans une profonde réflexion… qui eut pour utilité de la faire trébucher. Et comme il était en tête, il créa un mouvement de déséquilibre général chez le trio. Kaku, souple comme un mustaphapha, mit une main sur le sol et se propulsa dessus en décrivant une rotation autour de celle-ci et se retrouva à nouveau dans la course. Nozo dans sa chute, trouva la présence du pied de son sauveur ( c’est-à-dire Kaku) devant son apophyse nasal, il attrapa de justesse sa cheville et entreprit le même voyage qu’elle vers les cieux Elle allait lui permettre d’éviter la douloureuse morsure du chemin rocailleux. La vitesse et la force du sacrieur était telle que le féca se vît envoyé dans le monde des volants. Après un rapide salto, il réatterrit souplement et leva la main en direction de Kaku:

« Merci du coup de pied vieux ! »

Le troisième énergumène tout aussi déséquilibré, fit un plongeon vers l’avant se rattrapant in extremis par une rapide roulade sur le sol peu adapté à ces figures acrobatiques. C’est à ce moment là que Nozomu eut idée du jour, avec un grand sourire, il se tourna vers un Kaku méfiant devant une telle expression:

« Kaku, il faut que tu déséquilibres le chef de file de ces fou furieux ! A mon si… »

Mais le sacri, qui en avait plus qu’assez de courir pendant l’heure de la sieste qui avait été bien raccourcie, avait décidé de faire les choses très vite faites et plutôt pas mal faites. Et il lança une explosion qui aveugla les alentours. Il choppa, comme à son habitude, son compagnon par la peau du cou et alla s’éclis prestement dans la végétation voisine.
Avec la violence du choc causé par la déflagration, le troisième fugitif se vît expulsé dans les fourrés où il perdit momentanément connaissance.
Lorsque son esprit eut la bienveillance de ranimé sa conscience, le pandawa se retrouva au milieu des plaines et, à son plus grand soulagement, seul. Une fois debout, il eut la désagréable surprise que ses jambes ne lui répondaient plus paralysé par de multiples courbatures. La gorge asséchée, le malheureux individu se traîna d’un pas qui se voulait fier mais qui restait très raide malgré tout.
Il entra dans la taverne d’Astrub, un vent de panique traversa la salle lorsque l’ombre élancée et musculeuse entra dans l’ouverture de la porte et qu’un regard sauvage et impitoyable la balaya. Le temps sembla s’arrêter, lestement, sa démarche féline le dirigea vers une table dans le fond de pièce, tous les clients tournèrent la tête sur le passage du guerrier aux allures majestueuses. Le tavernier s’approcha de son visiteur une fois celui-ci attablé, avec un sourire crispé et des gestes craintifs, il bredouilla:

"Que vaut votre présence plaisante dans ma si modeste taverne Seigneur Dark-Funeraille ?"

Le dénommé Dark-Funeraille ne prit même pas la peine de répondre:

« A boire ! Et vite ! »

L’ordre claqua, le tavernier courut derrière le comptoir chercher trois chopines et les remplir avec un tonneau marqué « réserve personnelle du grand pandawa ». Il revint couvert de sueur et tremblant comme une feuille. Il posa les trois récipients remplis d’un liquide ambré et repartit sans demander son reste. Avec un sourire de satisfaction, il voulut porter un verre à ses lèvres quand ses muscles se tétanisèrent lorsque la porte claque une seconde fois et que deux silhouettes trop bien connues pour être sans intérêt entrèrent.
Nozo et Kaku après avoir échapper à leurs poursuivants avaient eux aussi été entraînés vers la taverne la plus proche et quand il ouvrit la porte, un faisceau lumineux entra et vînt frappé un pandawa avec trois chopines devant lui, les regardant avec un air très ennuyé. Il s’élancèrent, les muscles contractés, les visages criant vengeance !

« On va lui faire sa fête ! »

Une voix gémissante au loin n’atteint pas leur ouïe embrouillé:

« On non par pitié, elle est neuve depuis 6 mois à peine… »

Par contre, l’odeur de la boisson alcoolisé chatouilla leur narines et les arrêta net !

« D’abord à boire ! »

Et dans un ensemble parfait les deux démons vidèrent d’un trait le contenus des chopes sous le regard ébahi du pandawa. Jamais il n’avait vu d’autres races boire sans hésitation et surtout cul sec la célèbre bière de Pandawa… Et les deux compères reposèrent les choppes en se léchant les babines, sans avoir l’air d’avoir subit le contre coup de cet alcool beaucoup plus fort que la normal. Pour couvrir sa surprise, d’un rugissement bestial il hurla:

« Tavernier ! Nos gosiers sont asséchés ! Apporter la bière en abondance ! »

Et deux plateaux remplis arrivèrent à toute vitesse, alors que les deux autres démons s’assirent. Alors que Kaku voulut régler ses comptes avec le panda, Nozo lui fourra une bière dans les mains en s’écriant :

« Chouette à boire gratuitement ! »

Et il vida sa deuxième bière sous le regard horrifié de Dark mais aussi de Kaku.

« Mais c’est un monstre… il est pire que moi ! »

Nozo sentit un défi, et ses yeux s’allumèrent. Kaku voulut l’arrêter avant qu’il ne soit trop tard mais le féca fut plus rapide !

« Okayyyyyy ! T’es un bon gars ! Pour te faire pardonner et devenir mon serviteur, j’te défi de boire autant que possible ! Le premier qui roule sous la table à perdu ! »

Alors que le Panda sourit car il avait gagné d’avance Kaku grimaça car de leur coté il était très mal partit avec Nozomu. Mais l’habile meneur, mis une consigne:

« Cependant, tu à choisit la boisson donc je choisit un second partenaire… KAKUUUUUUUUUUUU ! »

Le Pandawa ne se méfia pas une seconde du sacri et lui dit :

« Tope la c’est partit ! »

Or seule Nozo le savais, mais le sacri avait déjà battu bien des pandawa à ce petit jeu, sans jamais sans vanté…
Et pendant toute une soirée ils burent à s’en faire éclaté la panse, Nozo rigolait à cœur ouvert devant les anecdotes de leur nouveaux compagnons qu’ils avaient surnommé Darky. Kaku fut même étonné que le tavernier leur offre leur consommation alors qu’il avait vidée la taverne à eux trois… Darky leur expliqua que lorsqu’il avait un certain sommet de saoulerie, si quelque chose ou quelqu’un le contrariait, il détruisait tous sur son passage… comme la taverne il y a six mois. Depuis tout lui était offert ici comme le tavernier avait trop peur de sa force démoniaque…
Après avoir quelque peu décuvé dans la nuit, Nozo lui proposa de venir dans la guilde… quand Kaku posa une condition:

« Avant il doit nous prouver se qu’il vaut… On va aller mettre une raclée à ces porcins sans cervelles de l’autre jour… »

Darky le regarda avec horreur:

« Ah non tout mais pas ça ! »

[i] Les deux autres fît de drôles moues interrogatives, alors timidement le pandawa s’expliqua:[/i]

« J’suis allergique aux poils des sangliers… »

Et tous éclatèrent de rire… le proclamant sur le champ Mascotte puisque Alcoolique ne pouvait être prit !

Je n'est pas eut le courage de faire l'histoire de l'entrée d'Icegold et de Yelisa, car ayant le coeur gros, seul mon émotion transparaît à traver ce poème:

A nos amis disparut...

Deux éléments la terre et l'eau.
Quand l'un est glacier,
L'autre est ardent braisier.
Deux êtres en parfaite symbiose...

Complémentaire ou s'opposant,
Les rassemble un lien puissant.
Deux corps, deux vies...
En une âme s'unissent.

Tels deux papillons s'envolant dans les cieux,
Ephémère, leur atié leur dit adieux
Tandis que l'amour les prend dans ses méandres
Immortels, il serat, envers les deux amants, rester tendre.

Soul of dreams est la famille qui
A permis à leur liens de s'unir.
Il s'y sont rencontrés, touchés, embrassés
Et y ont crée leur union sacrée.

Seulement le destin est fait de choix.
De partir était leur droit.
A ses deux compagnons méritants,
J'agite mon mouchoir vers leur louhette disparaissant.

L'onde mélancolique coule sur mon visage,
Le coeur est gros et ma langue muette.
Cependant en dit assez ces vers fugassent.
Que l'oiseau poête porteur de ce message,
le chante auprès de votre esprit honnête,
Et qu'il vous dise combien on vous aime.

A Yelisa et Icegold
qui seront à jamais compagnon de mon coeur.

Fleur de Lune, Fleur de sang, Sephirass

Oooooh Caly, je ne trouve pas mes mots tellement c'est beau.
Pour une surprise, elle est magnifique.
Non seulement tu es douée pour le dessin mais aussi pour raconter des histoires et écrire des poemes.
Tu es un don du ciel et j'espère qu'Alcestos en est conscient (sinon, tkt je le lui dirais mdrrr).
Yélisa et moi-même te remercions pour ce merveilleux geste, toi aussi tu restes dans notre coeur.

A plus IG mon amie.

J'avoue ma topine que t'es une douée pour sa O_O. Tout ce travail pour me raconter que tu m'adore x) J'en suis toute émue...(nan je rigole bien sur^^)

Sinon ouai t'es une vraie artiste question dessins et histoires!

Esperons que tu nous en fasses d'autres!!

» A pluche les guildoux
» Bonnes fêtes les guildoux ;)
» les guildoux vont finir par me haïr :x